mercredi 21 novembre 2012

2012 : mythe ou réalité ?



mardi 20 novembre dernier à eu lieu une conférence sur les mythes entourant la fin du monde de 2012 à l'auditorium du Collège Shawinigan. Présentée par Sébastien Gauthier, un communicateur et vulgarisateur scientifique ainsi qu'un physicien passionné par l'astronomie, cette conférence traite des mythes du 21 décembre 2012 et du discours pseudoscientifique. Il veut sensibiliser les gens à la science pour qu'elle reste présente dans la culture de tous, un peu comme Einstein ou Galilée feraient. De cette manière, il veut que les personnes développent leur pensée rationnelle, ce qui selon lui, amène de meilleures prises de décision dans tous les domaines en générale. La conférence est divisée en cinq points (mythes) : le calendrier maya, l'alignement de la planète avec un trou noir, une éruption solaire et l'alignement des planètes prédit pour 2012. Il attaque ces suppositions en les réfutant avec brio, pour démontrer qu'en fait 2012 n'est pas un danger futur pour l'humanité. Il donne des conseils pour survivre à ces discours pseudoscientifiques tels que faire attention au jargon compliqué, ne pas se fier au nom d'une institution, mais plus au poste occupé par la x personne, vérifier le domaine de connaissance des experts... C'est après avoir lu un livre sur les théories de 2012 offert par sa belle-mère, à son anniversaire qu'il se dit qu'il a un travail à faire. '' Ce n'est pas parce que c'est écrit dans un livre que c'est vrai.'' A-t-il affirmé. La science doit être communiquée par des faits observables et c'est ce qu'il démontre tout au long de son discours. J'ai beaucoup aimé assister à cette conférence, car elle traite de sujets réels et non de mythes. Ce n'est pas un érudit qui vient nous avertir que la fin est proche. J'ai aussi aimé l'aspect pédagogique, lorsqu'il expliquait différents phénomènes scientifiques, car c'était facile à comprendre. Bref, j'ai grandement appris de cet homme. La conférence avait sa place dans le cours des impacts des catastrophes naturelles sur l'humain, car elle traite de catastrophes possibles ou impossibles et des impacts qu'elles ont ou auraient ainsi que la crainte des hommes envers elles. Un grand bravo pour Sébastien Gauthier! Pour plus d'informations ou encore pour de magnifiques images de l'espace et du ciel vous pouvez aller sur son site web : www.cosmagora.ca ou encore sur sa page facebook : cosmagora qui sont tout deux ouverts au grand public. Son site web a pour but de montrer la beauté de l'univers qui nous entoure. C'est en trouvant la beauté du monde qu'on s'y intéresse, selon Sébastien.





 - Arielle-Anne Bédard

mardi 6 novembre 2012

Analyse des interventions d’urgences et des conséquences géopolitiques

La soirée du 3 avril 1974 restera pour toujours gravée dans la mémoire des  météorologues américains qui étaient présents lors du Super Outbreak. En effet, les météorologues du service météorologique américain avaient envisagés un risque de développement massif d’orages violents. Le Storm Prediction Center, à Kansas City, avait demandé aux bureaux locaux de la plupart des régions qui seraient affectées d’avoir leurs radars météorologiques prêts à suivre le temps dès le 2 avril. Cependant, lorsque des tornades sont apparues dans la vallée de l’Ohio, les spécialistes se sont rendu compte que l’ampleur du phénomène allait largement dépasser leurs prévisions. Comme vous le savez déjà, 48 tornades ont ravagées la terre. Plusieurs blessés, morts et disparus. 

Voici quelques dégâts causés par cette catastrophe


Disponibilité des aliments, fournitures
Pour ce qui est de la disponibilité des biens essentiels à l’humain tel que la nourriture ou le matériel médical, c’était difficile au début. Cette catastrophe a engendré plusieurs blessés, ce qui a donc fait grimper le nombre de patients dans les hôpitaux. Les services étaient au ralenti et certaines personnes ont dû attendre plusieurs jours afin de recevoir les soins nécessaires. Étant donné que certaines régions ont été plus ravagées que d’autres, la disponibilité de la nourriture n’est pas la même partout. Certaines régions ont dû attendre de recevoir des aliments apportés par des aides internationaux tandis que d’autres ont eu accès à l’épicerie le lendemain matin.

Une tornade de l'éruption Super Outbreak de 1974



Efficacité du plan et des mesures d’urgence
Le Super Outbreak a eu lieu en 1974, une année où les technologies n’étaient pas aussi avancées qu’aujourd’hui. Les instruments qu’utilisent les météorologues étaient donc beaucoup moins performants qu’aujourd’hui et c’est pour cela qu’on a sous-estimé cette catastrophe.  Les météorologues et spécialistes en catastrophes avaient seulement prévus des orages violents. Jamais ils n’auraient cru qu’un nombre aussi important de tornades allaient prendre place sur la terre ferme. C’est donc pour cela qu’il n’y avait pas eu de plan d’évacuation. Pourquoi faire évacuer la ville lorsque la météo n’annonce que des orages? Les habitants du Mid-Ouest des États-Unis sont habitués de recevoir des vents forts et des orages violents. Enfin, pour ce qui est de cette période, les gens n’étaient pas du tout préparé à cela et c’est pour cela le nombre élevé de victime. Donc j’imagine que si une catastrophe comme celle-là se reproduisait aujourd’hui, un plan d’évacuation et des mesures d’urgence  seront mis en place rapidement.


Réactions face à cette catastrophe
Le gouvernement a bien réagit face à cette catastrophe, car il a demandé de l’aide afin de reconstruire les villes ravagées le plus rapidement possible. Les villageois, eux, ont étés très tristes d’apprendre qu’ils avaient perdus de la famille ou des amis dans cette éruption de  tornades ainsi que des pertes matérielles. Les propriétaires d’industries venaient de perdre énormément d’argent face à la perte de leurs machines et bâtissent, ils étaient donc très déçus. Cependant, tout cela n’a duré qu’un moment puisque tous se sont rassemblés afin de reconstruire ce que les tornades avaient détruit pendant leur passage. 



Conclusion
Bref, la documentation face à cette catastrophe est restreinte puisque cette éruption de tornades a eu lieu lorsque les technologies n’étaient pas aussi avancées qu’aujourd’hui. Depuis cette catastrophe, plusieurs mesures et plans d’évacuation ont été mis en place afin de prévenir qu’une chose semblable se reproduise. Tous restent traumatisés à la suite de cette catastrophe.


- Edith Lussier

lundi 5 novembre 2012

Conséquences environnementales et humaines


Une catastrophe naturelle cause beaucoup de dommage autant matériel qu’économique et à coup sûr, moralement. À la suite d’une série monstre de 148 tornades en dix-huit heures, touchant treize états et le sud-ouest de l’Ontario, le Super Outbreak (nom de la catastrophe) a engendré des coûts de 5,5 milliard de dollars.

Avec la force des vents (soixante km/h allant jusqu’à cinq cents dix km/h), ça devait être assez difficile de se déplacer autant en automobile ou en autobus qu’à pied. Les réseaux de transports étaient complètement paralysés. Ce qui a entraîné une diminution de travail chez toutes les personnes qui étaient touchées donc, les usines, magasins etc. ont tous eu une baisse des ventes, excepté les épiceries qui eux, se sont fait vider les tablettes par des clients qui avaient peur que la fin du monde soit arrivée. 


Accompagnée d`une forte pluie, cette catastrophe a aussi détruit des ressources naturelles et même des champs d’agriculture. Un nombre impensable d’arbres et de végétation ont été détruits et les récoltes d’agricultures noyées. Avec autant de tornades simultanément, quelques réseaux distributeurs d`électricité ont été assez solide pour résister à ces vents inhabituels mais d’autres n’ont pas eu cette chance. Des états entiers étaient privés d’électricité, ce qui causa beaucoup de problèmes socio-économiques. Des magasins, pharmacies, etc. ont dû eux aussi fermer leur portes. 

Le Super Outbreak a causé quelques centaines de morts, mais a aussi causé beaucoup de blessés ce qui a entraîné une hausse de patients dans les hôpitaux. Certains devaient être soignés immédiatement dû à des problèmes physiques tandis que d’autres, qui avaient seulement des blessures mineures, ont dû attendre des heures, même des jours pour pouvoir être soignés adéquatement. Beaucoup de gens ont trouvé cette épreuve difficile à surmonter. Cette catastrophe a causée quelques suicides par des gens qui ont tout perdu. À part des coûts reliés au gouvernement et aux entreprises, les habitants des états ont aussi beaucoup perdus ou même TOUT. Les maisons, les voitures, etc. étaient les plus grosses pertes pour les habitants (excepté les décès). Évidemment, des infrastructures ont été détruites par cette catastrophe historique. Des écoles, des églises, des hôpitaux, des usines, etc. ils y ont tous passés. Imaginer la crainte chez tous ces gens sans boulots et celle de leur enfant qui ne peuvent plus aller à l’école. 


Ce phénomène qui a fait le tour de la planète n’a pas seulement eu des mauvaises répercutions. Après la catastrophe, le 5 Avril 1974, tout étaient à refaire. Qui dit construction dit travail, les treize états ainsi que le sud-ouest de l’Ontario se sont mis au travail pour tout reconstruire. Cela a créé beaucoup d’emplois, comme les contracteurs qui devaient presque se réjouir de l’arrivée de cette catastrophe.


Le domaine de la construction a explosé. Pour les états touchés, que faire excepté construire? Rien. Des dizaines milliers de personnes se sont mis au travail et en quelques années, tout était refait et la vie reprenait. Ces tornades resteront gravées à tout jamais dans la pensée des américains qui ont été touchés de loin ou de près par cette catastrophe.



-Francis Morissette